Qui parle aux yeux »Définition d’un mot-clé pour l’art, le titre de l’exposition se fait aussi l’écho de la diversité des langages employés par l’artiste : sculpture, assemblage, installation, photographie, dessin, écrit, son…

Avec ses captures et ses collectes, ses déplacements et ses associations en tous sens, Didier Frouin-Guillery nous invite à parcourir les strates ou les rhizomes de notre mémoire, à faire provision et projection de nos rêveries.

L’espace qu’il compose représente un processus et un montage pour questionner notre histoire, accueillir des histoires, susciter des correspondances, ou faire défiler de « courts métrages »poétiques. A chacun, dans cet atelier de l’imaginaire, de faire pousser, de cuisiner ou de bricoler sa propre arborescence (son « arborée de sens » dit l’artiste).

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